LES REINS

Les REINS


Le résultat de l’activité cellulaire se traduit par la production d’un certain nombre de déchets.

Pour maintenir l’organisme en vie ils doivent être éliminées.

Cette élimination est le rôle des émonctoires : Peau, poumons , système digestif, reins.

De ces émonctoires , seul le rein est accessible aux mesures de la bioélectronique, par les mesures du sang et de l’urine.



Le fonctionnement du rein


Le rein est un filtre qui traite chaque jour 180 litres d’eau, et en excrète environ 1, 5 litres.


Il fonctionne comme une pompe osmotique

(L'osmose est la tendance naturelle à l'équilibre. Elle exprime la force de répartition, à l'origine du principe de diffusion) ou même « contre osmotique », le passage au travers de la membrane se ferait à contresens.

Les électrolytes (ions , molécules , particules) du sang ne passeront la membrane que si la concentration en électrolytes (osmolarité) du sang est plus faible que l’osmolarité des urines.

En effet la pression osmotique du sang ou des urines est directement liée au nombre de molécules ou particules que véhicule le sang ou les urines.

Plus il y a de molécules ou de particules , plus la pression osmotique est élevée.

En conséquence, le rein ne fonctionne bien que si la pression osmotique du sang est inférieure à celle de l’urine.


Donc, on en arrive à la règle des 4 Plus :


- plus le sang est chargé en toxines , molécules diverses ,

- plus la pression osmotique du sang augmente,

- plus l’effort demandé au rein est important

- plus grande sera sa difficulté à filtrer.


A ce stade, c’est le cercle infernal, car même en buvant beaucoup le filtre rénal n’arrive plus à éliminer les déchets que le corps va devoir stocker dans les 3 poubelles du corps que sont :


- le tissu graisseux

- les muscles

- le tissu sous-cutané (qui se gorge d’eau chargée de toxines),


avec comme conséquences directes :

  • des oedèmes(empâtement),

  • de la fatigue chronique,

  • des courbatures ou douleurs musculaires chroniques diffuses ou localisées à certains endroits du corps.


Le traitement dans ces cas est de boire de l’eau peu minéralisée, qui engendre une pression osmotique basse du sang, et permet aux reins de travailler normalement et d’éliminer les toxines.


Une autre source d’intoxication est un fléau bien connu, le stress.


Le stress favorise l’accumulation de toxines dans l’organisme (la peur, l’anxiété, trop de réflexions provoquent la consommation d’énergie et donc production de toxines), ce qui aggrave d’autant plus le problème des reins en les fatiguant car plus le corps produit de toxines et moins il arrive à les éliminer.


Par ailleurs , l’organisme gaspille de l’énergie pour essayer d’éliminer ces déchets par les reins alors que cette énergie pourrait être utilisée pour lutter contre le stress.


« L’eau est précieuse par ce qu’elle emporte et non par ce qu’elle apporte »


Avec la bioélectronique de Vincent, nous procédons aux mesures qui nous permettent de vérifier tout cela.

Normalement la résistivité sanguine (210) doit être 7 fois supérieure à celle des urines (30) pour permettre un fonctionnement optimum du rein.

Si par exemple nous avons une résistivité sanguine à 160 et une résistivité urinaire à 80, le gradient n’est plus que de 2, le corps garde pratiquement tous les minéraux et les toxines.

A ce stade là, rien ne sert de faire un traitement, il faut rétablir la fonction rénale sinon nous n’aurons qu’un déplacement de toxines d’un endroit vers un autre (même un massage peut produire cela), donc avant tout traitement, il faudrait mesurer la résistivité urinaire.

Nous pouvons aussi mesurer l’élimination urinaire électrique basée sur le même raisonnement, l’accumulation de courant électrique dans le corps n’est pas fait pour arranger le problème.


Grâce à la mesure du rH² urinaire, nous pouvons nous apercevoir rapidement que le rein est perturbé si le rH² est < à 21, cela signifie que le corps commence à perdre des électrons , souvent c’est un signe de début de mauvais fonctionnement rénal et donc la fuite d’énergie par l’intermédiaire des électrons.


C'est souvent le premier signe d'un gros dérèglement de la machine.


Le pH urinaire est le miroir de la cellule, normalement il est situé autour de 6, 8.

S’il devient trop acide, cela provoque une élimination importante des ions H+ qui sont un élément important de la production d’électrons.

IL faut contrôler le pH plusieurs fois avant de tirer des conclusions et toujours être prudent dans l’interprétation des mesures.


Dr Yves Gillard